Entre ténèbres et grand ciel bleu ...
Cet homme est un ovni !!! Il paraît qu'il préfère" écrire que respirer"...
Il est l'auteur de centaines de nouvelles , des pièces de théâtre, et une série de romans noirs; quatre ayant pour personnage principal, son double : Max Zajack.
Dans "Putain d'Olivia", Safranko , (enfin, Max,) tombe raide dingue d'Olivia, on va vivre cette histoire d'amour impossible avec lui, page après page .
Résultat: C'est comme quand tu me mets la tête par la fenêtre d'un train à grande vitesse ...
"J’avais toujours eu l’œil pour la beauté : imbécile que j’étais, je croyais que c’était un truc qui comptait. Tel le mendiant qui convoite le palais du royaume, je désirais ce que je pouvais pas posséder. Mais j’étais las de convoiter l’inaccessible."
Dans "Dieu bénisse l'Amérique", Safranko revient sur son enfance d'immigré polonais et nous remet les pies sur terre concernant le rêve américain... D'une écriture volontairement crue, il bouscule le lecteur comme peut le faire Bukowski. S'il faut n'en lire qu'un seul: pour moi ce sera celui là...
"Confessions d'un loser" est le deuxième de la série ... Sexe, alcool et déprime... pendant 319 pages...
Il est l'auteur de centaines de nouvelles , des pièces de théâtre, et une série de romans noirs; quatre ayant pour personnage principal, son double : Max Zajack.
Dans "Putain d'Olivia", Safranko , (enfin, Max,) tombe raide dingue d'Olivia, on va vivre cette histoire d'amour impossible avec lui, page après page .
Résultat: C'est comme quand tu me mets la tête par la fenêtre d'un train à grande vitesse ...
"J’avais toujours eu l’œil pour la beauté : imbécile que j’étais, je croyais que c’était un truc qui comptait. Tel le mendiant qui convoite le palais du royaume, je désirais ce que je pouvais pas posséder. Mais j’étais las de convoiter l’inaccessible."
Dans "Dieu bénisse l'Amérique", Safranko revient sur son enfance d'immigré polonais et nous remet les pies sur terre concernant le rêve américain... D'une écriture volontairement crue, il bouscule le lecteur comme peut le faire Bukowski. S'il faut n'en lire qu'un seul: pour moi ce sera celui là...
"Confessions d'un loser" est le deuxième de la série ... Sexe, alcool et déprime... pendant 319 pages...