"La battue"
de Gaël Brunet.
Après 5 ans d'absence, Olivier va passer un week-end chez ses parents avec sa petite amie. Jusqu'ici, il n'y a pas de quoi sauter au plafond, d'autant que j'ai trouvé le tout début du roman très "nonchalant" ...
Cette "nonchalance" (qui après réflexion, doit être un choix délibéré de l'auteur) est proportionnelle à l'envie qu'a notre personnage principal à retourner dans sa famille (si on peut, d'ailleurs, appeler ça une famille tant elle a explosée après le décès du frère aîné !). Et c'est là tout le talent de Gaël Brunet. Il nous emmène à pas lent dans son champ de ruines et doucement, notre estomac se serre.
Avec force et talent, Gaël Brunet signe là un très très bon roman.
Cette "nonchalance" (qui après réflexion, doit être un choix délibéré de l'auteur) est proportionnelle à l'envie qu'a notre personnage principal à retourner dans sa famille (si on peut, d'ailleurs, appeler ça une famille tant elle a explosée après le décès du frère aîné !). Et c'est là tout le talent de Gaël Brunet. Il nous emmène à pas lent dans son champ de ruines et doucement, notre estomac se serre.
Avec force et talent, Gaël Brunet signe là un très très bon roman.