Un très grand roman.
J'aimerais beaucoup vous amener à lire ce roman remarquable .
Nous sommes dans les années 30, la pension Zaltzer se prépare à recevoir ses hôtes, comme chaque année. Célibataires, joueurs de cartes et épicuriens, la plupart sont des juifs de Vienne.
Les premiers arrivés attendent avec impatience les autres... qui tardent. L'ambiance devient pesante, chacun se dévoile. Le monde est en train de changer, leur monde est en train de vaciller...
Il y a Rita et son rêve de Terre Promise...
Son fils ...
Il y Zaltzer, bien sûr, le patron et sa femme si fragile...
Il y a Zoussi, l'amour qu'elle porte à son père est immense...
Van , son fidèle soupirant...
Il y a Benno, jeune, ivrogne, et désespéré...
Et puis Maria, la "petite mère" de tout ces "naufragés".
Vous ne pourrez pas sortir de ce huis-clos sans conclure qu' Aharon Appefeld est un écrivain majeur de notre temps. Ce roman est aussi une réflexion sur la religion et sur les prémices d'un antisémitisme qui telle un virus s'immisce insidieusement dans le quotidien. C'est juste remarquable !
Valérie Zenatti a traduit ce roman de l'hébreu , et je ne dirais jamais assez que j'aime son travail.
Nous sommes dans les années 30, la pension Zaltzer se prépare à recevoir ses hôtes, comme chaque année. Célibataires, joueurs de cartes et épicuriens, la plupart sont des juifs de Vienne.
Les premiers arrivés attendent avec impatience les autres... qui tardent. L'ambiance devient pesante, chacun se dévoile. Le monde est en train de changer, leur monde est en train de vaciller...
Il y a Rita et son rêve de Terre Promise...
Son fils ...
Il y Zaltzer, bien sûr, le patron et sa femme si fragile...
Il y a Zoussi, l'amour qu'elle porte à son père est immense...
Van , son fidèle soupirant...
Il y a Benno, jeune, ivrogne, et désespéré...
Et puis Maria, la "petite mère" de tout ces "naufragés".
Vous ne pourrez pas sortir de ce huis-clos sans conclure qu' Aharon Appefeld est un écrivain majeur de notre temps. Ce roman est aussi une réflexion sur la religion et sur les prémices d'un antisémitisme qui telle un virus s'immisce insidieusement dans le quotidien. C'est juste remarquable !
Valérie Zenatti a traduit ce roman de l'hébreu , et je ne dirais jamais assez que j'aime son travail.